Partie 1 : Relations et modes de vie humains liés à leur environnement naturel dans l'univers de Nausicaä




Écoutez moi bien, soldats de Tolmèque, la nuit dernière les gens d’ici ont risqué leur vie pour éteindre votre vaisseau en flammes et sauver les survivants, et ce matin encore, ils donnaient à vos mort une digne sépulture. La Vallée du vent n’est pour vous qu’un petit royaume mais ne mérite-t-elle pas un peu de gratitude ? Si vous voulez la guerre vous avez sans doute vos raisons, dans ce cas il serait bienséant de dépêcher un messager pour nous les exposer.

Propos tenus par Maître Yupa dans Nausicaä de la Vallée du vent (film)



Il n’y a rien d’exagéré dans l’affirmation selon laquelle l’univers de Nausicaä de la Vallée du vent n’a rien d’une utopie. En effet, malgré le peu d’humains restant sur Terre après les Sept jours de feu et le peu d’espace encore viable pour eux, guerres et conflits règnent partout. Loin d’être fédérés, les hommes se sont regroupés en royaumes et empires aux langues et aux mœurs très différentes. Chacune de ces civilisations a ainsi établi ses propres idées et son propre rapport à l’environnement.


La Vallée du vent : un idéal pastoral en harmonie avec la nature


Dès le début du film, les panoramas de la Vallée du vent donnent à voir un espace logé entre des montagnes face à la mer. Le vert y domine largement et la vue des vignes chargées de raisins laissent germer l’idée d’une abondance naturelle chez le spectateur. On observe aussi que l’eau à laquelle s’abreuve Maître Yupa à son retour est d’une grande pureté, et que la forêt en arrière-plan est très bien préservée. Où que le regard se porte, la vallée semble un lieu de parfaite harmonie entre l’homme et la nature, presque un jardin d’Eden sur la Terre ravagée. Terre natale de Nausicaä, la Vallée du vent apparaît comme un endroit où il fait bon vivre malgré l’avancée inexorable de la fukai. Puisque Nausicaä a vu le jour et a grandi dans cette vallée, on peut noter en quoi ce lieu l’a rendue plus apte à comprendre la fukai et à la respecter autant que les humains.


Le respect de la nature, une alliée à ne pas maltraiter

L’équilibre Homme-nature dans la Vallée du vent semble reposer sur un équilibre entre les quatre éléments. Comme le font remarquer Gersende Bollut et Vincent-Paul Toccoli, Hayao Miyazaki a sans doute introduit ses pensées shintoïstes, où la notion d’équilibre entre les éléments est importante, dans son œuvre. « Le vent est calme et l’eau transparente » fait joyeusement remarquer un homme du village venant accueillir Maître Yupa. Si l’eau est si limpide dans la vallée, c’est surtout grâce à la forêt environnante, dont les racines agissent comme un filtre. On voit alors que les habitants de la vallée savent intelligemment user de ce que la nature leur prodigue déjà, ce qui les amènent naturellement à la protéger. De son côté, le vent a un rôle à la fois utilitaire et protecteur : utilitaire car comme on le voit, il fournit de l’énergie en faisant tourner les nombreux moulins de la vallée, protecteur car il repousse les spores de la fukai et empêche ainsi la vallée d’être engloutie. Le vent apparaît également comme un allié de Nausicaä qui vole dessus grâce à son moeve et prie le (ou les) « dieu(x) du vent ». On peut également attirer l’attention sur le feu, élément de nature destructrice. Les habitants de la vallée s’en servent avec parcimonie pour brûler les spores toxiques que le vent n’a pas pu chasser, et donc pour compléter l’action de la nature. Dans la fin du film, le personnage de Mito, un habitant de la vallée, résume en quelque mot la philosophie de vie du village : « Trop de feu ne donne jamais rien de bon. Le feu peut réduire une forêt en cendre en un seul jour tandis que l’eau et le vent l’ont nourrie gentiment pendant plus d’un siècle ». On trouve dans cette phrase une idée de confiance en une nature qui fait bien les choses si on la laisse en paix. Comme nous le verrons plus tard, Nausicaä est très imprégnée de ce respect envers l’environnement.


Faible population et solidarité villageoise, un remède à l’abus de la nature ?

Il y a autre chose qui frappe lorsqu’on entre dans la Vallée du vent à travers le retour de Maître Yupa : c’est l’aspect chaleureux. Tous les villageois semblent le connaître et se précipitent à son encontre, aussi bien les enfants que les adultes. Pour autant, le grand respect que les villageois ont pour Maître Yupa n’aboutit pas à une relation formelle. On remarque rapidement la même chose avec Nausicaä. Son rang de princesse pourrait l’éloigner de son peuple mais au contraire elle en est très proche et prend activement part à la vie du village en rapportant l’œil d’Ômu ou en réparant l’aile d’un moulin par exemple. Selon Gersende Bollut, cette solidarité et cette proximité villageoise, combinée à une population peu importante, joue un rôle important dans son rapport à la nature. En effet, la solidarité villageoise qui règne dans la Vallée du vent fait écho à celle dans insectes au sein de la fukai, mais elle aide aussi la vallée à survivre dans des conditions de vie hostiles. Par ailleurs, les rapports humains simples sans hiérarchie exacerbée, et la capacité des villageois à apprécier les petits plaisirs rendent ces derniers pacifiques, à la fois envers la fukai mais aussi envers les autres peuples. A cela, on peut ajouter qu’une faible population est plus facile à nourrir. Ainsi les habitants de la vallée n’ont pas besoin d’exploiter leur milieu pour en tirer les ressources dont ils ont besoin. A l’équilibre naturel s’ajoute un équilibre entre les humains et l’écosystème qui permet à chacun d’exister à l’image d’une symbiose. Grandissant dans cet environnement, Nausicaä est alors sensible à cet équilibre et à l’idée que les humains font finalement partie d’un grand écosystème. Elle peut alors considérer la nature et l’Homme comme deux parties d’un tout et que l’un ne peut finalement vivre sans l’autre.


Les limites de la coopération Homme-nature

On peut cependant voir des limites dans la symbiose entre les habitants de la vallée et leur environnement. En effet au cours du film apparaissent comme des failles dans cette coopération. Tout d’abord on peut noter que les humains sont en harmonie avec la nature non toxique et que la fukai reste considérée comme dangereuse. En témoignent la maladie du roi Jill, le père de Nausicaä, qui l’a paralysé peu à peu et qui atteint aussi les habitants de la vallée comme Mito par exemple, qui parle de la maladie à Kushana. Par ailleurs, on remarque aussi que les villageois craignent à juste titre la fukai, comme le montre la scène après l’accident du vaisseau de Pejite. Un insecte géant survit au crash et les villageois hésitent alors à le tuer, sachant que s’il le font d’autres insectes pourraient riposter. L’un des villageois s’apprête même à faire feu sur lui avant que Nausicaä ne vienne désamorcer la situation. On voit donc que l’harmonie Homme-nature a ses limites dans la Vallée du vent. Cependant sur ce point, Nausicaä parvient à se détacher de la méfiance des siens pour éviter tout affrontement entre humains et fukai.


L'empire tolmèque : la technologie pour dompter la nature 

Si le film ne donne pas à voir l’empire tolmèque ou sa capitale Tolas, le spectateur possède néanmoins un aperçu de cette puissance à travers les agissements du personnage de Kushana. Guerrière respectée de ses hommes qu’elle a elle-même entraînés, Kushana, par son discours, oppose radicalement l’empire tolmèque à la Vallée du vent. 


Une puissance militaire expansionniste 

Le premier aperçu que donne le film des Tolmèques est celui d’une nation militaire qui souhaite étendre son territoire. Leur première action est en effet d’envahir la Vallée du vent à l’aide d’une armée nombreuse et bien équipée, tant en armes et armures qu’en vaisseaux de guerre. La musique inquiétante et tendue qui règne lors de l’invasion donne un très mauvais a priori sur eux au spectateur, de même que la façon dont ils éliminent le roi Jill, alors même qu’il était âgé et malade. Très éloigné du petite royaume de la Vallée du vent, l’empire tolmèque apparaît plus puissant, plus vaste et plus hiérarchisé. On peut aussi noter que ses ressortissants sont caractérisés par une grande méfiance qui semble déplacée envers les villageois de la vallée qui ne sont pas bien menaçants pour eux, tant par leur faible nombre que par leur équipement moins sophistiqué. Le personnage de Kurotowa paraît emblématique de la pensée tolmèque, en effet il est difficile de penser que la Vallée du vent puisse donner naissance à un homme tel que lui. Ce second de Kushana apparaît cependant dans son milieu naturel au milieu de soldats qu’il commande et dans les sphères supérieures de la hiérarchie. Il semble à tout moment prêt à prendre la place de la princesse sans se soucier de questions morales. Si Kurotowa semble purement matérialiste et sans but précis ; il apparaît pourtant que Kushana a un objectif tourné vers l’avenir en envahissant la vallée : fédérer les humains restant face à la fukai. Mais même si son discours se veut unificateur, le paradoxe entre la violence de l’invasion et ses paroles : « nous sommes venus dans votre vallée pour parler de paix » a quelque chose de dérangeant pour le spectateur. Cela montre néanmoins qu’aux yeux de Kushana, la fin justifie les moyens. 


Une croisade contre la fukai, dominer par la technologie 

Le but avoué de Kushana est de « brûler la forêt toxique ». En partie à cause du fait que des insectes l’ont mutilée, elle voue une haine profonde à la fukai, ce qui explique son désir de la détruire. On voit alors que les Tolmèques pensent pouvoir se détacher totalement de la nature et s’en remettre à la technologie pour survivre. Dans les scènes où Kushana se voit confrontée à des insectes, on voit d’abord que ces derniers la terrifient. Dans la scène du nid d’Ômus, sa panique la met à deux doigts de faire feu dans la forêt alors que les Ômus sont calmes. Le spectateur voit aussi qu’elle n’a pas conscience du fonctionnement de la fukai et ne pense pas aux conséquences de ses actes : comme l’explique Nausicaä, un simple coup de feu peut avoir de grave répercussions sur le responsable. A la fin du film, Kushana n’est plus terrifiée par la vague d’Ômus qui menace de tout détruire sur son passage, la présence du Dieu-Guerrier à ses côtés, arme technologique très puissante, la rend particulièrement confiante même s’il n’est pas abouti. Cet abus de foi en la technologie face aux insectes l’amène à sous-estimer les Ômus furieux, elle les traite comme de la vulgaire chaire à canon et n’hésite pas à les détruire en masse. Kushana possède en fait une vision très actuelle sur la nature en considérant que l’Homme doit la dominer. Pour en revenir aux visions shintoïstes, on peut considérer que l’empire tolmèque à tendance à abuser du feu comme le font remarquer les villageois prisonniers à la fin de l’œuvre. Ce déséquilibre va de paire avec la haine et la violence dont fait preuve la princesse tolmèque. 


Le personnage de Kushana, influencé par Nausicaä ? 

Si, comme le font remarquer les trois villageois prisonniers, la princesse Kushana n’a rien à voir avec Nausicaä, on peut néanmoins trouver des points communs entre les deux personnages. Tout d’abord, toutes deux sont des princesses qui inspirent le respect à leurs peuples respectifs. Il est important de relever que Kushana a elle-même entraîné son armée et que ses hommes lui vouent une fidélité sans faille. Même si Kurotowa se permet de songer à la trahison, il est néanmoins impressionné par la force de caractère de sa supérieure. Par ailleurs, Kushana s’éloigne de la vision amorale de Kurotowa. Son rang de princesse lui donne des pensées plus nobles. Même si son positionnement par rapport à la forêt et sa vision anthropocentriste du monde sont très discutables et d’ailleurs contestés par les habitants de la Vallée du vent, elle songe à l’avenir des humains en souhaitant les fédérer pour former « une seule et grande nation ». On peut même penser que c’est principalement l’empathie qui creuse l’abîme entre Nausicaä et Kushana : l’une en déborde au point de comprendre d’autres formes de vie, l’autre en manque au point de ne pas même comprendre ce que les villageois de la vallée tentent de lui expliquer dans sa propre langue. Pour finir, la fin du film donne une note d’espoir en montrant des images de l’armée tolmèques se retirant de la vallée. Kushana ayant échoué dans son projet, elle décide de rentrer chez elle ; elle semble avoir évolué au cours de l’histoire notamment sous l’influence de Nausicaä pour qui elle développe du respect. Malgré son caractère plus sombre et belliqueux, on peut penser que Kushana entreprendra une route plus pacifique à la fin du film. 


Pejite : une ville en cendres victime du conflit


Une ville meurtrie par la main de l’être humain

Les insectes sont très importants dans le manga et l’anime. Par exemple, les habitants de Pejite n’ont pas hésité à détruire leur propre cité afin de faire fuir les troupes Tolmèques en se servant des insectes comme une arme, tels de la chaire à canon. En effet, les habitants ont fait exprès d’énerver les insectes afin qu’ils s’attaquent à Pejite. Nous pouvons alors penser à la scène où Nausicaä et Asbel découvrent l’état du royaume de Pejite suite à cela. Ils y croisent des centaines d’insectes morts et les épaves du royaume sont encore fumantes. Ainsi, l’attaque des insectes ailés et des Ômus a été totalement dévastatrice, et cela ne s’arrête pas là car les habitants ont décidé de faire de même pour la Vallée du vent en capturant un bébé Ômu. Cela avait pour but de provoquer la rage de tous les autres Ômus qui se sont mis à tout détruire sur leur passage afin de suivre la trace de leur congénère. Enfin, il semble pertinent de souligner le fait que nous sommes plongés dans ce contexte de destruction dès la première séquence de l’anime, où nous observons un paysage mortuaire. Maître Yupa traverse une ville fantôme recouverte par des spores mortels. Ce dernier prononce ces mots : « Un autre village est mort ». Visiblement, la vie humaine a déjà disparu dans les villages aux alentours de la Mer de décomposition, à cause de l’être humain lui-même. 


Des dirigeants lucides

Le royaume-cité de Pejite est principalement fondé sur l’artisanat, il n’est pas industrialisé. Son régent est le père de Lastel et Asbel. Le Prince Asbel veut se venger des Tolmèques mais il se fera attaquer. Dès lors, Nausicaä le sauvera et apprendra à le connaître. Ensemble, ils découvriront que l’air est respirable au fond de la « Mer de la décomposition » et comprendront que le rôle du Fukai est très important pour la purification du monde. Ainsi, nous pouvons voir que leurs deux mentalités convergent. Quant à Lastel, sa sœur, elle fut retrouvée mourante par Nausicaä après le crash du navire Tolmèque qui la retenait prisonnière. Elle se battait contre la réanimation du Dieu-Guerrier, qui pouvait faire des dégâts importants. Après avoir rencontré Nausicaä, le prince Asbel se rendit compte qu’il fallait à tout prix arrêter toute cette violence. Le fonctionnement du royaume de Pejite est assez similaire à celui de la Vallée du Vent. La famille royale du royaume de Pejite se range du côté de Nausicaä. Ainsi, même la mère d’Asbel l’aidera à s’évader de sa prison, avant de devoir s’enfuir de l’avion où elle se trouve pour ensuite échapper aux tirs ennemis. Ces comportements montrent bien que, après réflexion, les insectes peuvent cohabiter avec les humains et vice versa. Cela montre que la famille royale de Pejite a une conscience morale forte et une lucidité vis-à-vis des événements. Ils voient que le Dieu-Guerrier apportera seulement la destruction et agissent au mieux pour éviter qu’il ne soit ramené à la vie.


Solidarité et optimisme malgré le néant

Tout au long de l’anime, nous pouvons observer une cohésion de groupe des deux côtés (que ce soit entre les habitants de la Vallée du Vent, ou entre les habitants du royaume de Pejite). Les habitants sont prêts à lutter ensemble face à l’ennemi. Sans être agressifs, ils se préparent néanmoins à agir en cas d’une éventuelle attaque. Le fait d’être pacifiste semble faire partie intégrante de leur nature. Dans l’ensemble de son œuvre, Miyazaki n'insiste jamais sur des visions défaitistes. En effet, ses remarques sont toujours pleines de bon sens, il est un perpétuel optimiste. Nausicaä se joint à Asbel en espérant détruire les troupes des Tolmèques. D’autre part, les habitants du royaume de Pejite semblent être prêts à tout pour reconstruire leur royaume à partir de zéro. Ainsi, une grande solidarité prend forme, notamment quand ils se réfugient dans les vaisseaux en attendant le retour de Nausicaä et d’Asbel. Miyazaki ne laisse jamais rien au hasard, et essaye de nous transmettre un message d’espoir, à travers les émotions des personnages.




Sources :

La Vallée du vent : un idéal pastoral en harmonie avec la nature


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  • Miyazaki, Hayao. 1982-1994. Nausicaä de la Vallée du Vent. Française. 7 vol. Grenoble : Glenat.

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